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"…C'est lâcher ou lancer un caillou dans l'eau…"

ENCYCLOPLOUF

Productions naturelles de plouf économie* : les auto-plouf

La nature produit ses propres plouf que l’on nomme auto-plouf ou encore plouf spontanés, c’est le cas par exemple de la météorite qui tombe dans un océan ou un lac, c’est le cas d’une pierre se détachant d’une falaise sans l’action de l’homme et tombant dans l’eau.

La caca-plouf

Au même titre que la gerbo-plouf ne sauraient être considérées comme un plouf économie* valable même si parfois elles peuvent être ludiques, pour la bonne raison qu’il ne s’agit pas d’un lien au minéral (voir § 10, b).

Le rico-plouf

Le plouf succédant à une série de ricochets s’intègre parfaitement dans les cas particuliers de plouf économie*.

La plouf économie* avec glaçons

Le lancer ou le lâcher de glaçons dans un lac ou un verre d’eau n’est pas considéré comme un acte de plouf économie*, même s’il y a effectivement production de vague et d’un bruit de plouf. Là encore, un morceau de glace n’est pas minéral.

Rappelons que « plouf économie* » a été déposé à l’INPI (Institut National de la Propriété Industrielle) précisément pour qu’une marque de spiritueux, par exemple, ne puisse pas reprendre à son compte ce concept : la plouf économie* reste un acte gratuit et poétique.

La volcano-plouf

Le lancer ou le lâcher de cailloux dans un volcan ou dans un lac de lave n’est pas non plus un acte de plouf économie* ; le liquide accueillant n’étant pas de l’eau.

La plouf en huile, la plouf en vin…

Le lâcher ou le lancer de cailloux dans un liquide autre que de l’eau ne peut pas se définir comme un cas particulier de plouf économie*.

Il s’agit bien de lancer ou de lâcher un caillou dans l’eau et uniquement dans de l’eau. (Voir § 10,c)

L’inverso-plouf

Le lancer ou le lâcher d’eau sur un caillou ou des cailloux concrétise-t-il un cas particulier de plouf économie* ? Il n’y a pas de vague produite, il n’y a pas de plouf, donc hypothèse non validée.

La multiplouf

Quoique provoquant des vagues se perturbant entre elles et avec une production de différents sons de ploufs, la multiplouf ou le lancer-lâcher de plusieurs cailloux en même temps entre dans le cadre de la plouf économie*

La fesse-plouf

La fesse-plouf consiste à lâcher un caillou depuis son postérieur. S’assurer de ne pas créer un attentat à la pudeur. Cet acte ploufique, certes plus solitaire, n’en reste pas moins valable.

La néphrito’plouf

Douloureuse et pas forcément recommandable, la néphrito’plouf peut se pratiquer avec l’assistance de votre chirurgien.(récuperer d’abord le ou les cailloux à l’aide d’une petit tamis avant le lancé ).

La plouf’en bouche

Consiste à lâcher ou lancer un caillou à partir de la bouche ; ne pas hésiter à s’assurer de la propreté du caillou auparavant.

La plouf’au pied (foot plouf)

Positionner le caillou sur le pied, si possible nu, et le lancer ou le lâcher dans l’eau vérifie bien une plouf’économie* valide.

Une variante ludique : le main-pied plouf, (hand foot plouf),qui consiste à lâcher le caillou avec la main sur le pied avant de l’envoyer dans l’eau.

Le vite plouf (speed ploufing)

« T’es à la bourre, en une seconde tu peux ploufer », reste une manière de ploufer.

L’allu’plouf

Ou plouf économie* en zone obscure, par exemple la nuit ou en zone arctique durant la nuit polaire. Cela consiste à éclairer la zone de plouf (aussi bien l’espace du lancer de caillou que la surface de l’eau). L’allu-plouf est également une variante d’une bonne plouf économie.

NB : prendre les dispositions nécessaires de sécurité et de non nuisance lumineuse.

La désintégro’plouf

Il s’agit d’une pierre que l’on lance et qui sous l’effet du lancer s’éclate en plusieurs sous-pierres, rejoignant en cela la multiplouf.

L’accompagno-plouf

Il s’agit d’un individu qui se jette volontairement avec un caillou dans les bras, ou dans sa main, ou sur son pied, ou dans sa bouche…. Cela peut concrétiser un cas particulier de plouf’économie* à condition que le caillou (qui aime sa liberté) puisse ploufer le premier dans l’eau… Noblesse de plouf oblige. Ceci écrit, cette noblesse sera tout de même perturbée par le plouf du porteur qui lui succédera. Dans tous les cas, il convient de privilégier la relation du caillou libre à l’eau.

En revanche, l’attento-plouf, ou le caillou petit ou énorme que l’on attacherait par jeu ou par délit au pied ou sur le corps de soi-même ou d’un individu, avant de le lancer dans l’eau, est totalement interdit par la loi, et ne saurait en aucun cas justifier une juste plouf’économie*.

La rato’ plouf

Si en termes de production sonore, un lancer ou un lâcher de cailloux provoque un ploc, un boum, un aïe, ou tout autre bruit non ploufique, s’assurer des dommages éventuels et recommencer dans l’eau.

L’emprisanno’plouf

Le caillou, à l’intérieur d’un glaçon, peut, dans certaines conditions, valider une plouf’économie* si le caillou ploufe librement dans l’eau sans contrainte, ni attachement, ni entourage.

Dans ce cas particulier, la glace se doit de fondre avant l’impact du caillou dans l’eau.

L’anti’plouf

Cas particulier de plouf’économie*, c’est le caillou qui une fois jeté ou lancé dans l’air refuse de ploufer (voir l’histoire des cailloux aéro-flottants), le caillou reste en général à 1 m 68 à la surface de l’eau.

La retardo’plouf

C’est ce caillou anti’plouf rarissime qui décide de ploufer lorsque cela lui convient (voir toujours l’histoire des cailloux aéro-flottants).

La retardo’plouf ne doit pas être confondue avec les ploufeurs en retard.

L’endo’plouf

Il s’agit d’un cas particulier de plouf’économie* valide, où le ploufeur se trouve déja dans l’eau et lance ou jette un caillou dans l’eau.

L’iso’plouf

Le ploufeur se trouve déjà dans un milieu aquatique, et lance ou jette un caillou dans un autre milieu aquatique. Cela constitue également une plouf’économie* valide. Dans tous les cas, s’assurer de la sécurité du lancer.

La synchro’plouf

Possible plouf’économie * deux ou plusieurs ploufeurs jettent ou lancent leurs cailloux en même temps. Totale synchro’plouf : avec un impact dans l’eau en même temps.

La retourno’plouf

Il s’agit d’un lancer ou jeter de caillou en se trouvant dos au plan d’eau. C’est bien une plouf’économie* valable. Il est toutefois conseillé de se retourner après le lancer afin de visualiser le plouf toujours si poétique. (s’assurer au préalable de l’espace libre).

Plouf en cas de pluie

Ne pas hésiter à utiliser de plus gros cailloux afin de bien entendre les bruits de plouf et de créer de belles vagues, en rappelant que les gouttes d’eau de pluie, n’étant pas minérales, ne cautionnent pas une auto’plouf. (voir auto-plouf)

La plouf’économie mutante (mut’plouf)

Est à l’étude. Il s’agit d’une plouf’économie* virtuelle. Un programme informatique modélise un caillou (immatériel) provoquant un plouf et des vagues dès son impact dans une eau virtuelle.

On peut imaginer un lancer virtuel d’un caillou virtuel d’un ordinateur à l’autre. Egalement imaginer la programmation d’une mut’plouf à une heure précise, tel un réveil.

Merci toutefois de ne pas oublier la date du premier mercredi de chaque mois de juin pour la plouf réelle. Dans tous les cas de figure, y compris celle de la mut’plouf, la plouf’économie*reste amicale et joyeuse, jamais revancharde, ni combative, ni contestataire… C’est cool la plouf.